Épatantes !
Découvertes pendant le confinement, les micropousses m’ont ouvert plusieurs perspectives, dont une possibilité d’introduire un mini jardin nourricier dans un appartement de ville.
Les micropousses, les cheffes et chefs les connaissent depuis longtemps. Ils les utilisent comme un peintre ses pinceaux et ses couleurs : elles constituent une palette de formes, couleurs, textures, goûts supplémentaires pour composer avec équilibre des plats qui ravissent autant les yeux que le palais. Les micropousses font aussi leur chemin vers l’assiette du particulier désireux de compléter son alimentation avec ces plantes qu’on appelle parfois des “superaliments”. Le terme n’est pas scientifique mais il tente de résumer ce que les chercheurs accumulent en connaissances sur ces plantes : elles sont des concentrés de bienfaits. Le sujet est vaste et riche, selon les variétés qu’étudient les chercheurs, qui les comparent à d’autres, ou entre elles à des stades de croissances variables, etc. Ce qui est commun à toutes les recherches (que j’ai parcourues), c’est qu’elles concentrent, à ce stade de leur croissance, des vitamines, des sels minéraux, des antioxydants et des composés divers dont le corps a besoin pour être en santé. Le sujet est exploré car plein de potentiel pour l’alimentation, la santé. Enfin, il est réjouissant pour moi, car elles sont pour moi un fabuleux moyen de me remettre au quotidien en relation proche avec la nature, le sensible et après plus de deux décennies derrière les écrans d’ordinateur ou en salle de réunion. Le début d’une transition.